Après avoir conclu un accord avec Vuble pour mesurer l’attention portée à la publicité sur les vidéos en ligne, FranceTV Publicité délivre les premiers résultats de l’étude. 11 campagnes autour de 5 secteurs d’activité ont été testées.

Suite à un appel d’offres, la régie International Media Experts remporte la représentation exclusive en France du groupe britannique The Telegraph Media Group (TMG), l’éditeur de The Telegraph et du Sunday Telegraph.

La société Aéroports de Lyon (ADL) lance un appel d’offres pour des prestations d’achats d’espace online et de conseils. Le titulaire sera en charge de conseiller l'équipe media d'ADL sur la stratégie et le choix des dispositifs de chaque plan media.

Les préfectures de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis, du Val-de-Marne et du Rhône ont accrédité l’hebdomadaire Challenges pour la publication des annonces judiciaires et légales. MediaObs, régie publicitaire du titre, est en charge de développer cette nouvelle offre commerciale.

Franck Casoli rejoint l’équipe France de SpotX, la plateforme d’ad-serving vidéo, en tant que Sales Manager, Demand. Il aura pour mission de conseiller les publicitaires, les agences et les DSPs sur les opportunités de publicité vidéo programmatique disponibles avec les diffuseurs et éditeurs français, notamment sur les Marketplaces Privées et les Curated Marketplaces, sur tous types d’écrans. Il reportera à Sébastien Robin, Managing Director, France.

L’ensemble des 26 présidents de jurys des prochains Cannes Lions sont désormais connus. Pour les médias, c’est Tim Castree, Global CEO de Wavemaker (le nouveau nom de l’entité qui réunit MEC et Maxus chez GroupM-WPP) qui va prendre la présidence des Cannes Lions.

Suite à des appels d’offres, l’agence Ad Wise Digital & Media remporte les budgets de conseil et d’achat média du Département du Loiret et d’Universcience, l’établissement public issu du rapprochement entre le Palais de la découverte et la Cité des sciences et de l'industrie à Paris.

En 2017, Google a éliminé de Google Play plus de 700 000 applications qui enfreignaient les règles de la plateforme, selon un post de blog par Andrew Ahn, Product Manager Google Play. Cela représente 70% de plus que les applications supprimées en 2016, un résultat obtenu grâce au machine learning qui a permis d’identifier 99% des applications abusives, telles que l’usurpation d’identité, les contenus inappropriés ou les logiciels malveillants.